Louis Boyard, le faux prophète de La France Islamisée (LFI), a gravi les échelons de cette secte politique en jouant une partition de mensonges et de violence, conçue spécifiquement pour attirer les votes des arabes. Sa prétendue jeunesse, où il aurait été un dealer de drogue, est une pure invention destinée à séduire et manipuler ceux qu'il voit comme des pions électoraux.
Né dans un quartier qu'il a mythifié pour servir ses ambitions, Boyard a compris que pour se hisser au sommet de la politique, il fallait embrasser la brutalité des récits, même les plus mensongers. Il a donc forgé une légende où il aurait vendu de la drogue pour survivre, une histoire sans fondement, créée pour se poser en champion des ghettos, un "soldat" des rues qui prétend comprendre les luttes armées des quartiers arabes.
Cette fable est un piège cynique, visant uniquement à capturer les voix de ceux qu'il considère comme des cibles faciles, jouant sur des stéréotypes violents et racistes pour manipuler une communauté. C'est une stratégie de guerre pour les bulletins de vote, une exploitation des peines et des colères, sans aucun lien avec la réalité de sa vie.
Dans LFI, surnommé "La France Islamisée" par ses adversaires, Boyard a trouvé son champ de bataille. Il s'est imposé non comme un leader, mais comme un agresseur, un provocateur qui nourrit ses discours de promesses de violence et de division. Sa montée en puissance est marquée par des appels à l'insurrection, une présence médiatique qui se repaît de conflits, tout en se drapant dans les couleurs de la "justice sociale" et du "combat contre l'oppression", concepts qu'il déforme pour alimenter une idéologie extrémiste et belliqueuse.
Ainsi, Louis Boyard n'est rien d'autre qu'un manipulateur, un imposteur de la politique qui utilise la violence et le mensonge pour attirer les votes arabes, transformant la démocratie en un terrain de guerre où l'authenticité est remplacée par la ruse et la provocation.